En tant que prêtre, je suis témoin de la puissance de la guérison et de l’intercession. Pourtant, je vois trop souvent des chrétiens ignorer l’autorité spirituelle qu’ils ont reçue par leur baptême. À travers cet article, je vous invite à redécouvrir cette puissance qui est en vous, à collaborer avec Dieu et à laisser Jésus, le seul Sauveur, transformer votre vie.
1. Redécouvrez votre autorité spirituelle en tant qu'enfant de Dieu
En tant que prêtre, j’ai été profondément touché par de nombreux ministères d’intercession et de guérison. Cependant, je constate de plus en plus qu’il est crucial d’aider les chrétiens, les baptisés, à prendre conscience de l’autorité spirituelle qui leur a été conférée. Hier encore, je discutais avec des couples et nous évoquions le jardin d’Éden, ce lieu où le serpent s’est introduit. La première tâche qui nous incombe, à l’image d’Adam et Ève, est de reprendre autorité sur le jardin que Dieu nous a confié. N’oubliez jamais ceci : il n’y a pas plus puissant que chacun d’entre vous.
Trop souvent, dans les ministères de guérison, les gens attendent une aide extérieure, que ce soit d’un prophète, d’un charismatique ou d’un prêtre, pensant qu’ils ont plus d’autorité. C’est une erreur ! Personne n’a plus d’autorité que celui qui a été revêtu de la dignité royale lors de son baptême. Vous êtes fils et filles de Dieu, et il vous appartient de reprendre autorité sur votre vie. Délimitez à nouveau le terrain qui vous appartient, celui où vous devez faire souffler la puissance de l’Esprit Saint.
Les gens ne réalisent pas à quel point ils sont puissants dans le Seigneur. Ils n’ont pas conscience de l’autorité qui leur est donnée. Notre rôle est de les encourager à prendre conscience de cette puissance qui est la leur. Rappelez-vous des paroles de Jésus dans l’Évangile de Marc : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ils saisiront des serpents ; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris. » (Marc 16:17-18). Jésus ne nous demande pas d’attendre passivement, mais d’agir avec foi, car Christ est présent en nous et exerce son autorité à travers nous.
2. L'Avent : Un temps pour se recentrer sur Jésus, le seul Sauveur
En tant que prêtre, j’ai été profondément touché par de nombreux ministères d’intercession et de guérison. Cependant, je constate de plus en plus qu’il est crucial d’aider les chrétiens, les baptisés, à prendre conscience de l’autorité spirituelle qui leur a été conférée. Hier encore, je discutais avec des couples et nous évoquions le jardin d’Éden, ce lieu où le serpent s’est introduit. La première tâche qui nous incombe, à l’image d’Adam et Ève, est de reprendre autorité sur le jardin que Dieu nous a confié. N’oubliez jamais ceci : il n’y a pas plus puissant que chacun d’entre vous.
Trop souvent, dans les ministères de guérison, les gens attendent une aide extérieure, que ce soit d’un prophète, d’un charismatique ou d’un prêtre, pensant qu’ils ont plus d’autorité. C’est une erreur ! Personne n’a plus d’autorité que celui qui a été revêtu de la dignité royale lors de son baptême. Vous êtes fils et filles de Dieu, et il vous appartient de reprendre autorité sur votre vie. Délimitez à nouveau le terrain qui vous appartient, celui où vous devez faire souffler la puissance de l’Esprit Saint.
Les gens ne réalisent pas à quel point ils sont puissants dans le Seigneur. Ils n’ont pas conscience de l’autorité qui leur est donnée. Notre rôle est de les encourager à prendre conscience de cette puissance qui est la leur. Rappelez-vous des paroles de Jésus dans l’Évangile de Marc : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ils saisiront des serpents ; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris. » (Marc 16:17-18). Jésus ne nous demande pas d’attendre passivement, mais d’agir avec foi, car Christ est présent en nous et exerce son autorité à travers nous.
3. Se libérer du syndrome du sauveur pour une collaboration authentique avec Dieu
Il y a quelques jours, je suis tombé sur l’enseignement d’un pasteur intitulé « Ne soyez pas le Saint-Esprit pour les autres ». Cette phrase m’a interpellé. En effet, combien de chrétiens, animés de bonnes intentions, cherchent à se substituer à l’Esprit Saint dans la vie des autres ? Ils veulent consoler, convertir, porter à bout de bras, oubliant que l’Esprit Saint est le seul Consolateur, le seul qui puisse toucher les cœurs en profondeur.
Souvenez-vous de ce que dit Jésus : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. » (Matthieu 11:28). Si vous vous sentez épuisé, c’est peut-être parce que vous portez un fardeau qui ne vous appartient pas. Vous essayez de sauver vos proches, de porter leurs souffrances, de résoudre leurs problèmes, mais ce n’est pas votre rôle. Votre rôle est de les aimer, de prier pour eux et de laisser Dieu agir.
L’enseignement de ce pasteur m’a rappelé l’importance de remettre Dieu devant ses responsabilités, comme Moïse l’a fait dans le désert lorsqu’il se sentait dépassé par le poids du peuple. Il a osé dire à Dieu : « Est-ce moi qui ai conçu ce peuple ? Est-ce moi qui l’ai enfanté, pour que tu me dises : Porte-le sur ton sein, comme le nourricier porte un enfant » (Nombres 11:12). Nous aussi, osons dire à Dieu : « Seigneur, c’est toi le Père, c’est toi le Sauveur, c’est toi le Consolateur. Agis, je te fais confiance ! »
Seigneur, je te remets tous ceux que je porte dans mon cœur. Je reconnais que tu es le seul à pouvoir les sauver, les consoler, les transformer. Pardonne-moi d’avoir voulu prendre ta place, d’avoir voulu être le Saint-Esprit pour eux. Je te fais confiance, agis en eux selon ta volonté. Au nom de Jésus, amen. Apprenons à prier dans l’Esprit, à laisser la louange nous envahir, et nous verrons que la légèreté viendra libérer notre âme. En ce temps de l’Avent, demandons à Dieu de reprendre sa place dans nos vies et dans celles de nos proches.
Philippe DE MAISTRE